Je continue dans mes remarques en vrac, après une journée à parcourir les rues de la ville, sous un soleil resplendissant. Je ne me suis pas foulé, j'ai fait comme les centaines de milliers de touristes chaque années qui suivent le Freedom Trail, un parcours de 6km matérialisé au sol. Mais je l'ai fait avec des commentaires audio sur mon Ipod, un must.
D'ailleurs, première observation: - toutes les villes devraient avoir un parcours de ce type (mais je n'ose pas imaginer les tractations et les pressions des commerçants pour faire passer le chemin devant chez eux).
- les gens sont sympas et souriants, partout. Même l'agent du métro qui vient spontanément à mon secours alors que j'avais un peu de mal avec la machine pour acheter mon ticket.
- si comme à New York il y a pas mal de Français dans les rues, il y a aussi des Québecois à Boston.
- le Little Italy fait vraiment penser à l'Italie (mais la météo y était pour quelque chose). Avant même de savoir que je me promenais dans le quartier, je me disais que ça me rappelait Rome et plus généralement les villes méditerranéennes.
- j'ai croisé quelqu'un avec un T-Shirt "I make good babies" j'ai trouvé ça stupide et ça m'a fait rire.
- quelqu'un m'a qualifié de "nice gentleman" (en parlant à ça fille qui se mettait en travers de mon chemin).
- Boston fait maintenant parti du top 10 des villes où j'aimerai vivre.
- il faut que j'arrête de prendre en photo tous les arbres en fleur que je croise.
- j'ai pris des coups de soleil. Et malgré tout, des australiens rencontrés à l'auberge se plaignent du choc climatique (mais il est vrai que le début de la semaine était moins beau)
- sur le campus d'Harvard, une guide insiste pour que son public garde à l'esprit la diversité des étudiants de l'université. Diversité pas flagrante comparée au cosmopolitisme de UofT.
- la ville est très blanche, WASP dirait-on. Le look preppy avec polo Ralph Lauren est particulièrement répandu. Je dois bien me fondre dans la population locale, vu qu'on m'a demandé le chemin à plusieurs reprises.
(quelques unes des 300 photos prises en 2 jours)
- les gens sont sympas et souriants, partout. Même l'agent du métro qui vient spontanément à mon secours alors que j'avais un peu de mal avec la machine pour acheter mon ticket.
- si comme à New York il y a pas mal de Français dans les rues, il y a aussi des Québecois à Boston.
- le Little Italy fait vraiment penser à l'Italie (mais la météo y était pour quelque chose). Avant même de savoir que je me promenais dans le quartier, je me disais que ça me rappelait Rome et plus généralement les villes méditerranéennes.
- j'ai croisé quelqu'un avec un T-Shirt "I make good babies" j'ai trouvé ça stupide et ça m'a fait rire.
- quelqu'un m'a qualifié de "nice gentleman" (en parlant à ça fille qui se mettait en travers de mon chemin).
- Boston fait maintenant parti du top 10 des villes où j'aimerai vivre.
- il faut que j'arrête de prendre en photo tous les arbres en fleur que je croise.
- j'ai pris des coups de soleil. Et malgré tout, des australiens rencontrés à l'auberge se plaignent du choc climatique (mais il est vrai que le début de la semaine était moins beau)
- sur le campus d'Harvard, une guide insiste pour que son public garde à l'esprit la diversité des étudiants de l'université. Diversité pas flagrante comparée au cosmopolitisme de UofT.
- la ville est très blanche, WASP dirait-on. Le look preppy avec polo Ralph Lauren est particulièrement répandu. Je dois bien me fondre dans la population locale, vu qu'on m'a demandé le chemin à plusieurs reprises.
(quelques unes des 300 photos prises en 2 jours)
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